L’achat d’une propriété est normalement un moment de réjouissance, toutefois cet événement heureux peut rapidement se transformer en cauchemar. L’apparition d’un vice caché peut frapper même le plus vigilant des acheteurs. Infiltrations, moisissures, problèmes de toiture, de fondation, d’isolation, de drain français, la liste est longue. Ne restez pas dans le noir, un avocat à l’écoute de vos problèmes peut vous proposer une solution adaptée à votre situation.
Le plus important pour l’acheteur floué est d’agir rapidement tout en respectant la loi. Par exemple, suite à la découverte d’un vice caché, une lettre de dénonciation doit être envoyée au vendeur avant d’entreprendre toute rénovation non-urgente. N'attendez pas et engagez un avocat spécialisé en vice caché.
Êtes-vous accusé à tort d’avoir vendu un bien affecté d’un vice caché ? Si votre réponse est oui, il existe pour vous des éléments de défense permettant de faire invalider une réclamation pour vices cachés. Seul un avocat est en mesure de vous conseiller à ce propos.
Si votre recours est de 15 000$ et moins, la division des petites créances de la Cour du Québec peut trancher votre litige rapidement et à peu de frais. Il est également possible, même si vos dommages dépassent 15 000$, de stratégiquement opter pour la Cour des petites créances en diminuant volontairement votre réclamation.
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